Au XVIIIe siècle, les concerts parisiens accueillent les compositeurs et solistes européens; parmi ceux-ci, bon nombre de Wallons. Gossec, le fondateur d'une tradition symphonique française, brille également dans le genre la mode, importé de Mannheim : la Symphonie Concertante. Grétry, le maître incontesté de l'Opéra Comique, apparaît ici avec une oeuvre de jeunesse toute inspirée des modles italiens. Son compatriote, le liégeois Pieltain fut un soliste très apprcié au "Concert Spirituel". Quand Gresnick, après avoir été actif Lyon, il obtient le succès à Paris au lendemain de la Révolution.
François Joseph Gossec
Symphonie concertante pour violon, violoncelle et orchestre en ré Majeur
André Modeste Grétry
Concerto pour flûte et orchestre en Do Majeur
Dieudonné-Pascal Pieltain
Antoine Frédéric Gresnick
Symphonie concertante pour clarinette, basson et orchestre en si bémol Majeur Patrick Cohën-Akenine, violon
François Poly, violoncelle
Jan De Winne, flûte
Eric Hoeprich, clarinette
Jane Gower, basson
Les Agrémens
Guy van Waas, direction