George Frideric Handel - The Messiah
Haendel avait 50 ans lorsqu'il a composé ses premiers oratorios et ce sont pourtant ces œuvres qui, trois siècles plus tard, inscriront son nom au panthéon des plus grands maîtres classiques.
Il écrivit son Messiah sur un livret de Charles Jennens qui s’était inspiré non pas d’un récit complet mais de fragments des Ancien et Nouveau Testaments. Son choix s’était naturellement porté vers l’anglais : l’œuvre n’en serait que plus accessible au public! Tel était d’ailleurs le but de tous les oratorios de Haendel : une musique grand public, tous milieux confondus, une musique capable d’interpeller et même d’éblouir le plus commun des mortels. Le jour de la première, c’est même le public tout entier qui se lève pour ovationner l’Alléluia (une tradition toujours vivace au Royaume-Uni), preuve s’il en faut de la puissance de cette œuvre.
Il écrivit son Messiah sur un livret de Charles Jennens qui s’était inspiré non pas d’un récit complet mais de fragments des Ancien et Nouveau Testaments. Son choix s’était naturellement porté vers l’anglais : l’œuvre n’en serait que plus accessible au public! Tel était d’ailleurs le but de tous les oratorios de Haendel : une musique grand public, tous milieux confondus, une musique capable d’interpeller et même d’éblouir le plus commun des mortels. Le jour de la première, c’est même le public tout entier qui se lève pour ovationner l’Alléluia (une tradition toujours vivace au Royaume-Uni), preuve s’il en faut de la puissance de cette œuvre.
Et qui d'autre donc que Guy Van Waas et ses Agrémens pour intérpreter cette oeuvre monumentale destinée autant au grand public qu'aux oreilles les plus averties?
Les Agrémens
Guy Van Waas (direction)