Beethoven, Missa Solemnis
Le Chœur de Chambre de Namur à la conquète de l’Everest de la musique sacrée !
Une œuvre monumentale dans laquelle Beethoven traite de la plupart de ses sujets de prédilection : l’universalité, les croyances, mais aussi les doutes.
De même que la Symphonie n°9 dépasse le cadre du concert, la Missa solemnis ne peut se définir uniquement comme une messe.
Commencée en 1818, promise pour 1820, achevée en 1823, partiellement créée en 1824 mais seulement publiée en 1827, la Missa solemnis valait la peine d’attendre. L’histoire de la musique n’a sans doute rien engendré de tel depuis la Messe en si de Bach, dont le grand Ludwig aurait aimé s’inspirer. Il échoua cependant à s’en procurer une copie. Vincent d’Indy dira joliment : « dans cette œuvre c’est le genre humain tout entier qui implore la miséricorde . »
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The Namur Chamber Choir (Chœur de Chambre de Namur) conquers the Everest of sacred music!
A monumental work in which Beethoven addresses many of his favorite themes: universality, beliefs, and also doubts.
Just as Symphony No. 9 transcends the concert setting, the Missa Solemnis cannot be defined merely as a mass.
Begun in 1818, promised for 1820, completed in 1823, partially premiered in 1824, but only published in 1827, the Missa Solemnis was worth the wait. The history of music has likely produced nothing comparable since Bach’s Mass in B Minor, which the great Ludwig would have liked to draw inspiration from, though he failed to obtain a copy. Vincent d’Indy beautifully remarked, "in this work, it is all of humanity that implores mercy."