ARCADELT, L’ÉLOGE DE LA BEAUTÉ
Née à Namur, une star dans l’Italie de la Renaissance. découverte.
ARCADELT, l’Éloge de la beauté
Musicien franco-flamand, né à Namur en 1507, il est un des premiers grands madrigalistes. De Lyon à Florence auprès d’Alexandre de Médicis, puis à Venise on le retrouve ensuite à Rome où il est maître de chapelle à la Sixtine sous le pape Paul III. Il le devient ensuite auprès du Cardinal Charles de Lorraine puis il devient maître de la chambre du roi Henri II auprès duquel il meurt à Paris en 1568.
Connu par les spécialistes de la Musique Ancienne depuis longtemps, on savait qu’il avait mis des poèmes de Michel-Ange en musique, ou qu’une de ses partitions illustre le célèbre tableau du joueur de Luth du Caravage. Son succès fut tel que Monteverdi, au début du XVIIe siècle, s’étonnait qu’à son époque encore on vendait en Italie plus de recueils d’œuvres d’Arcadelt que de lui-même !
Le Chœur de Chambre de Namur connaissait cette musique fine et aérienne qu'il a fait connaître à Leonardo García Alarcón.
Le Chœur de Chambre de Namur et Cappella Mediterranea ont enregistrés en février 2018 les œuvres d’Arcadelt (Ricercar) qu'ils diffusent régulièrement en concert.
Chœur de Chambre de Namur
Cappella Mediterranea
Leonardo García Alarcón, direction
Le répertoire sacré
Ave Maria
Pater noster
Filia Jerusalem (temps de Pâques)
Domine non secundum
Memento salutis auctor (Pour la Vierge Marie)
Recordare Domine (3e Dimanche après la Pentecôte)
Haec Dies (Resurrection)
Salve Regina
O pulcherina mulierum
Lamentatio
Gloriosa Virginis (Vêpres de la Nativité)
Ad trepida et coeptis immanibus effera Dido